Les travaux ont débuté rue des Carmes à Orléans avec une première démolition.
J'ai toujours été fasciné par ces maisons détruites dont les murs éventrés portent encore les traces des vie qu'ils ont abritées. Ainsi les gravas côtoient couleurs et papiers peint déchirés, les cheminées restent suspendues et des portes s'ouvrent sur le vide de la destruction.
Oui, c'est fascinant Frédéric, et en plus, quel rendu ! Il y a un fourmillement de vie là-dedans. Prenons cela positivement comme quelque chose qui va renaître, comme de la reconstruction plutôt que de la destruction. Christelle
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